[Complétion] Platine n°108 : Unravel
Quand un jeu est bon et que les trophées le sont également jusqu’à l’obtention du platine, le bonheur est total. Ce fût le cas pour Unravel.
J’ai eu envie de jouer à Unravel dès que j’ai découvert le premier trailer. Un jeu de plateforme en 2D, avec une ambiance poétique et un personnage attachant, c’était un jeu pour moi ! Il aura fallu attendre presque un an pour qu’il sorte enfin. Fait assez rare, c’est d’ailleurs la première fois, j’avais précommandé le jeu sur le PlayStation Store pour l’avoir à la sortie. Le hic, c’est que le 9 février et les jours qui suivaient, je n’allais pas être chez moi pour raisons personnelles… Le lundi 8 au soir, un peu avant minuit, je suis allé faire un tour sur ma console et j’ai vu qu’on pouvait lancer le téléchargement, mais surtout que l’on pouvait y jouer à partir de minuit ! Même si je savais que je ne pourrai que le commencer et ne plus y jouer pendant une bonne semaine, l’occasion était trop belle.
Quelques jours avant j’avais regardé rapidement la liste de trophées. Finir les niveaux sans mourir, ramasser les collectibles, et faire quelques actions spécifiques (que j’avais lu en diagonale pour ne pas me spoiler), du classique. J’ai déjà platiné les LittleBigPlanet, ça devrait le faire.
Habituellement face à ce genre de jeu et d’objectifs, je fais à fond un niveau avant de passer au suivant. Mais comme encore une fois je savais que je ne jouais qu’un peu le soir même pour découvrir, j’ai préféré enchainer les niveaux en sachant qu’il me faudrait y revenir plus tard. Je m’efforçais tout de même de chercher les collectibles, et j’en avais en général 4 ou 5, quelques fois 3, jamais moins. Il faut avoir l’œil mais quand on a l’habitude des jeux de plateforme avec des éléments cachés, c’est assez intuitif. Après cette première session découverte très agréable, j’avais fait la moitié du jeu.
C’est donc une bonne semaine plus tard que j’ai enfin pu y rejouer, de manière très disparate. J’ai continué d’avancer dans les niveaux en mode découverte. Une fois le jeu terminé, j’ai repris au niveau 1 pour compléter les collectibles, faire l’objectif spécifique, si ce n’était déjà fait, et terminer le niveau sans mourir. Avec les indications sur l’ordre des collectibles, c’est assez simple de les trouver par soi-même, sans guide, ce qui est plutôt agréable.
Terminer les niveaux sans mourir n’est pas insurmontable mais certains sont assez longs et pas évidents, le 7ième notamment, qui m’a valu quelques essais. Pour ne rien arranger j’ai eu un bug de son sur le niveau où il faut courir sur un câble électrique après les chutes d’éclairs… que je n’entendais pas. Mais globalement, en étant concentré et prudent, ça passe. Le seul trophée qui m’en a fait un peu baver, c’est Pacifiste. Il faut traverser le niveau 3 sans mourir mais surtout sans tuer les moustiques qui gènent Yarny. Il ne faut donc pas donner de coup de lasso dans le vide, et certains passages nécessitent de l’adresse et ne pas avoir de malchance.
Je vous fait le résumé assez court, il n’y a encore une fois rien de très sorcier, et je vous explique déjà tout en détail et en vidéo dans mon guide de trophée.
J’ai donc tout naturellement obtenu le platine en terminant le dernier niveau sans mourir :
Le fil rouge : Récupérer tous les trophées. (24/02/2016)
Unravel est un jeu excellent, beau, intelligent, très agréable, avec des trophées très sympa à faire, et avec ce qu’il faut de challenge pour ne pas que ce soit trop simple, ni prise de tête.
Je ne sais pas si Unravel pourrait avoir une suite qui apporte un plus, je pense que le jeu ce suffit à lui-même, mais j’espère avoir d’autres belles surprises du genre par la suite.
Quoi, vous êtes encore un train de lire mon article ? Foncez plutôt acheter le jeu et faire la chasse aux trophées vous aussi !