Platine n°13 : Need For Speed Shift
Tu fais quoi pour le réveillon du jour de l’an? Ben, je vais jouer…
Mon platine de God Of War II encore tout chaud, pas de réveillon de prévu, et ce platine sur NFS qui m’attendait depuis un moment.
A la sortie du jeu, j’avais complètement craqué pour ce jeu de courses automobile lorgnant du côté de la simulation mais avec ce petit côté arcade digne des Need For Speed.
Visuellement plutôt beau, proposant de rouler sur de vrais circuits de somptueux bolides, j’étais déjà plus chaud que pour un Gran Turismo 5 sans cesse repoussé dans lequel on doit rouler dans des pots de yaourts ou des voitures de tous les jours.
Ici que de la belle caisse, un pilotage plutôt intéressant, surtout assis dans un Playseat, et une vue intérieure bien fichue. Moi qui suis plutôt adepte de la vue arrière en général (eh oui je ne suis pas un vrai), cette vue intérieure m’a séduite et m’a bien aidé à me prendre pour un pilote.
Côté trophées puisque c’est de cela que je suis sensé parler ici, pas de grosses surprises, on est comme pour la plupart des NFS avec une liste de trophées globalement accessibles, dont quelques uns demandent un peu plus d’attention et de technique.
Réussir tous les circuits avec des virages et des trajectoires parfaites m’inquiétait un peu avant de jouer, mais finalement ce fût très grisant à faire.
J’avais malgré tout fini par lâcher un peu sur la fin, quelques circuits me posant plus de problèmes que d’autres, et puis je me suis résigné à obtenir des badges manquant en jouant en ligne.
Concernant ce mode, je n’y ai pas pris de plaisir, tant les abrutis qui te poussent dans le décor dès le départ étaient nombreux, mais j’ai réussi à faire avec et obtenir les derniers trophées :
Trophée de platine : Débloquer tous les trophées Need for Speed™ SHIFT. (31/12/2009)
Les DLC ont su rallonger quelque peu la durée de vie du jeu.